"La machine a jusqu’ici créé, directement ou indirectement, beaucoup plus d’emplois qu’elle n’en a supprimés" - Alfred SAUVY
"N'acceptez ni les vérités d'évidence, ni les illusions dangereuses" - Maurice ALLAIS
"Il serait un mauvais économiste celui qui ne serait qu’économiste" - Friedrich HAYEK
"Moins le risque est grand, plus les spéculateurs fuient" - Maurice ALLAIS
"La guerre n'est que la simple continuation de la politique par d'autres moyens" - Carl VON CLAUSEWITZ
"L’économie est fille de la sagesse et d’une raison éclairée : elle sait se refuser le superflu, pour se ménager le nécessaire " - Jean-Baptiste SAY
"Christophe Colomb fut le premier socialiste. Il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait, et ce aux frais du contribuable." - Winston CHURCHILL
"On taxe les riches car ils sont riche et on taxe les pauvres car ils sont nombreux " - blague de fiscaliste
"Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées." - Winston CHURCHILL
"Le problème avec le socialisme, c'est que, tôt ou tard vous êtes à court de l'argent des autres" - Margaret THATCHER
La science économique se définit comme l’étude des mécanismes de production, de répartition, d’échange et de consommation des richesses.
Ce faisant, la science économique cherche à répondre à une question simple : comment satisfaire des besoins humains infinis dans un monde où les ressources sont par nature finies ?
Dans ce cadre, il est donc possible de dire que l’économie est la gestion de la rareté.
Afin de savoir en quoi la compréhension de l’économie est importante il suffit d’avoir en tête le syllogisme suivant :
La notion de salaire "juste" est une préoccupation qui remonte à l'antiquité, mais dont la conception a évolué au cours du moyen-âge et jusqu'à l'époque contemporaine. De nos jours, les inégalités de salaires sont moins bien tolérées que par le passé. Malgré des éléments économiques objectifs qui permettent de légitimer des différences de rémunérations parfois élevées, le contexte actuel de la crise globale rend parfois inaudibles par l'opinion les arguments économiques, accentuant ainsi les préoccupations de "justice" dans le débat public et politique.
Le salaire minimum est un outil de redistribution très largement utilisé dans le monde. En effet, 90% des pays ont un dispositif de ce type qui peut varier quant à ses modalités (généralisation uniforme sur l'ensemble du territoire, différences entre les secteurs d'activités ou entre les régions) et dans ses montants (élevés ou symboliques). La question du salaire minimum est ancienne, mais force est de constater qu'aucun consensus auprès des économistes n'a jamais émergé quant au bien-fondé de cette notion. Il existe toutefois une constante, à savoir que cet outil de redistribution comporte à la fois des avantages, mais également des coûts.
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Il y a un mois, la Commission Européenne présentait son analyse sur la situation actuelle et à venir des pays de la Zone Euro. Il en ressort un certain nombre d'éléments qui soulignent in fine une reprise économique qui est appelée à se confirmer mais dans une ampleur et un rythme moins prononcés qu'escomptés, ainsi que des éléments de fragilités grandissants sur les prix et des disparités entre les pays.
Après deux décennies perdues, où en plus d'être les plus pauvres, les économies africaines étaient également les moins dynamiques du monde, une majorité d'entre elles ont connu une croissance économique forte durant les années 2000. Malgré des incidents de parcours avec le déclenchement de la crise globale et les printemps arabes, le continent africain profite du phénomène de basculement du monde qui voit le centre de gravité de l'économie mondiale se déplacer de l'Occident vers les pays émergents, entraînant ainsi dans son sillage l'Afrique. Malgré une amélioration et des opportunités certaines, les effets de la croissance sur le développement du continent sont encore mitigés et les perspectives d'évolutions sont largement conditionnées.
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Une analyse toujours très intéressante de Thierry APOTEKER, PDG et chef économiste du cabinet de recherche TAC :
Dans sa vision traditionnelle, le revenu est ce qu'un agent économique peut consommer, au cours d'une période donnée, sans s'appauvrir, c'est-à-dire sans entamer la valeur de son patrimoine. Dans ce cadre, le revenu est donc un "flux", alors que le patrimoine est un "stock". Le revenu peut être consommé ou épargné. La répartition des revenus soulève ainsi la question des inégalités et des systèmes de redistribution permettant d'aboutir à une meilleure justice sociale. En France, les deux principaux vecteurs de la redistribution pour diminuer les inégalités de revenus sont la fiscalité et les prestations sociales. Ils constituent les canaux les plus connus et les plus visibles de la politique de redistribution du pays. Toutefois, il convient de préciser qu'il existe d'autres moyens d'action, moins connus et moins visibles, à la disposition des pouvoirs publics français afin de mettre en œuvre leur politique de redistribution.
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