"Il n'y a que deux possibilités, soit un système dirigé par la discipline impersonnelle du marché, soit un autre dirigé par la volonté de quelques individus; et ceux qui s'acharnent à détruire le 1er contribuent, sciemment ou inconsciemment, à créer le 2nd" - Friedrich HAYEK
"Détruire la concurrence, c’est tuer l’intelligence" - Frédéric BASTIAT
"La confiance est une institution invisible qui régit le développement économique" - Kenneth ARROW
"Chaque génération se doit de payer ses propres dettes. Respecter ce principe éviterait bien des guerres à l'humanité" - Thomas JEFFERSON
"L’Europe se fera par la monnaie ou ne se fera pas" - Jacques RUEFF
"L'épargne et l'accumulation de biens de capitaux qui en résulte sont au début de chaque tentative d'améliorer les conditions matérielles de l'homme; c'est le fondement de la civilisation humaine" - Ludwig Von MISES
"Bien entendu, tout pays est sous-développé en ce sens que, n’étant pas encore parvenu à épuiser ses possibilités virtuelles, il est capable de continuer à avancer dans la voie du progrès technique" - Paul SAMUELSON
"J'ai déjà croisé le mensonge, le fieffé mensonge. Mais avec le ministère de l'économie, je découvre le stade ultime: la statistique" - Benjamin DISRAELI
"Les hommes n'étant pas dotés des mêmes capacités, s'ils sont libres, ils ne sont pas égaux, et s'ils sont égaux, c'est qu'ils ne sont pas libres" - Alexandre SOLJENITSYNE
"En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal" - Nicolas MACHIAVEL
9 mai 2022
Superbe et plantureuse Italo-Portoricaine, Debralee Lorenzana porte plainte contre son employeur, Citibank, lui reprochant de l'avoir licenciée en août 2009 parce qu'elle était trop sexy !
Elle prétend avoir été victime de commentaires déplacés sur son apparence dès son arrivée en septembre 2008 au poste de conseillère financière. Très rapidement, ses deux supérieurs lui ont interdit les cols roulés et les jupes. Leur objectant que ses collègues féminines ne semblaient pas soumises à la même règle, elle s’est vu répliquer qu’elles « pouvaient bien porter ce qu’elles veulent, vu que leur absence de sensualité rend inoffensifs leurs choix vestimentaires, contrairement à vous [D. Lorenzana] dont le galbe ne doit pas être mis en évidence par une tenue à cet effet ». L’humiliation a continué, avance la plaignante, quand on lui a imposé de ne plus porter de talons sous le prétexte qu’ils « attiraient l’attention sur ses courbes d’une manière bouleversante et facilement distrayante pour ses collègues masculins ».
Après s’être plainte à plusieurs reprises de comportements sexistes à son égard, elle a été mutée dans une branche différente (et moins prometteuse en terme de carrière) de la banque, puis elle a reçu une série d’avertissements concernant ses performances, perçus par la jeune femme comme une vengeance de la direction. Une clause de son contrat stipulant que tout litige devait être tranché à l’amiable, sa requête a fini devant une commission d’arbitrage, où elle n’a obtenu aucune compensation financière. En effet, la jeune femme s’était déjà fait connaître pour sa sensualité excessivement provoquante. Dans un emploi précédent, elle avait amené un collègue masculin à lui exposer un diaporama artistique de photos de son pénis spécialement préparé pour elle. Elle avait aussi été aperçue dans une émission de téléréalité sur les implants mammaires, justifiant son opération de chirurgie par sa volonté d’augmenter son pouvoir de séduction sur les cadres masculins.
Citation
Romain Treffel, « Licenciement pour sensualité excessive », analyse publiée sur «leconomiste.eu» le 15/06/2016. Anecdote économique extraite du recueil intitulé « 50 anecdotes économiques pour surprendre son auditoire ».