"La récession c'est quand votre voisin perd son emploi; la dépression c'est quand vous perdez le vôtre" - Harry S. TRUMAN
"Le gouvernement ayant pris ainsi la place de la Providence, il est naturel que chacun l'invoque (...). Aussi rencontre-t-on un nombre immense de requêtes qui, se fondant toujours sur l'intérêt public, n'ont trait néanmoins qu'à de petits intérêts privés" - Alexis de TOCQUEVILLE
"Le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème" - John Bowden CONNALLY
"Je ne crois aux statistiques que lorsque je les ai moi-même falsifiées." - Winston CHURCHILL
"Christophe Colomb fut le premier socialiste. Il ne savait pas où il allait, il ignorait où il se trouvait, et ce aux frais du contribuable." - Winston CHURCHILL
"A long terme nous serons tous morts" - John Maynard KEYNES
"L’inflation est toujours un phénomène monétaire" - Milton FRIEDMAN
"En période de mobilité économique, la souplesse est une condition vitale du plein emploi" - Alfred SAUVY
"L'économie mondiale demeure une notion abstraite aussi longtemps que l'on ne possède pas un compte en banque" - Achille CHAVEE
"Les gouvernements ont une vision très sommaire de l’économie. Si ça bouge, ajoute des taxes. Si ça bouge toujours, impose des lois. Si ça s’arrête de bouger, donne des subventions" - Ronald REAGAN
La science économique se définit comme l’étude des mécanismes de production, de répartition, d’échange et de consommation des richesses.
Ce faisant, la science économique cherche à répondre à une question simple : comment satisfaire des besoins humains infinis dans un monde où les ressources sont par nature finies ?
Dans ce cadre, il est donc possible de dire que l’économie est la gestion de la rareté.
Afin de savoir en quoi la compréhension de l’économie est importante il suffit d’avoir en tête le syllogisme suivant :
Les indicateurs (consolidés ou avancés) de reprise économique en Europe se multiplient. Toutefois, il demeure de grandes disparités tant sur la nature que sur l'ampleur de cette reprise parmi les grandes économies européennes : Allemagne, France, Royaume-Uni, Italie et Espagne.
Malgré des craintes et des faiblesses persistantes, la reprise de l'activité économique mondiale s'est progressivement renforcée en 2013. Cependant, cette reprise est très inégalement répartie selon les zones géographiques. En ce qui concerne le chômage, il reste très élevé dans la plupart des pays développés, malgré là aussi des situations très différentes selon les pays. Les marchés financiers et des capitaux ont globalement connu une année très positive grâce notamment à des conditions de politique monétaire très accommodantes. Enfin, la reprise du commerce mondial, ainsi que celle des investissements directs étrangers reste conditionnée.
Bulletin économique hebdomadaire uniquement accessible sur abonnement.
Consultez l'ensemble des bulletins disponibles en cliquant ici.
Consultez les services proposés par L'Economiste en cliquant ici.
Contactez L'Economiste afin de vous abonner en cliquant ici.
Un des meilleurs spécialistes français du risque-pays, Thierry Apoteker (chef économiste et PDG du groupe TAC), revient sur les conséquences pour les pays émergents de l'évolution de la politique monétaire aux Etats-Unis (le "Tapering"). Il constate que l'impact sur ces pays a été bien amorti et il donne plusieurs explications à cela. Enfin, il exprime ses "craintes" concernant certains pays émergents pour l'année 2014 (Turquie, Inde, Brésil et Indonésie) et souligne son appréciation positive du risque pour des pays tels que le Mexique ou les PECO (Pays d'Europe Centrale et Orientale). Interview d'autant plus intéressante à écouter à l'aune des évènements récents sur les marchés émergents.
L'histoire de la zone euro est relativement récente. Elle s'étend depuis la décision de sa création en 1991, en passant par son lancement officiel en 1999 et l'introduction de l'euro fiduciaire en 2002, et jusqu'à maintenant. L'évolution de l'inflation en zone euro durant cette période est marquée par six périodes distinctes. La mise en perspective de ces périodes permet de mieux comprendre les craintes déflationnistes auxquelles fait face actuellement la zone euro.
Au cours des années 1980, le Japon s'est imposé comme une puissance économique mondiale de premier rang, faisant même dire que ce pays pouvait dépasser les Etats-Unis comme puissance économique dominante, ce qui a d'ailleurs donné naissance au phénomène du "Japan Bashing". Or, les années 1990 sont venues mettre un terme au "miracle japonais" pour enchaîner avec deux décennies "perdues" où progressivement une "déflation rampante" s'est installée, mettant ainsi au terme à l'irrésistible ascension de l'archipel Nippon, et dont le pays n'a toujours pas réussi à s'extirper. Loin d'avoir un simple intérêt historique, l'expérience japonaise est forte d'enseignements eu égard à la situation actuelle des prix en zone euro.