"Quand un économiste vous répond, on ne comprend plus ce qu’on lui avait demandé " - André GIDE
"La politique n'agit sur l'économie que si elle ne prétend pas le faire " - Jacques ATTALI
"Si vous m'avez compris c'est que je me suis mal exprimé" - Alan GREENSPAN
"L’économie est fille de la sagesse et d’une raison éclairée : elle sait se refuser le superflu, pour se ménager le nécessaire " - Jean-Baptiste SAY
"En politique le choix est rarement entre le bien et le mal, mais entre le pire et le moindre mal" - Nicolas MACHIAVEL
"Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire. Car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. " - Henry FORD
"Il ne peut y avoir de crise la semaine prochaine, mon agenda est déjà plein " - Henry KISSINGER
"Casser l’inflation se fait toujours au détriment de l’emploi" - Nicholas KALDOR
"La puissance productrice d’un pays peut s’accroître d’une façon plus que proportionnelle à l’augmentation du chiffre de sa population" - Alfred MARSHALL
"L’économie se venge toujours" - Raymond BARRE
La science économique se définit comme l’étude des mécanismes de production, de répartition, d’échange et de consommation des richesses.
Ce faisant, la science économique cherche à répondre à une question simple : comment satisfaire des besoins humains infinis dans un monde où les ressources sont par nature finies ?
Dans ce cadre, il est donc possible de dire que l’économie est la gestion de la rareté.
Afin de savoir en quoi la compréhension de l’économie est importante il suffit d’avoir en tête le syllogisme suivant :
L'actualité économique récente aux Etats-Unis a largement été dominée par les considérations portant sur la reprise économique, l'évolution de la politique monétaire ou encore les risques d'un désaccord politique sur le budget. L'ensemble de ces sujets ont occulté l'évolution inquiétante des prêts étudiants. Si cette évolution n'est pas comparable à celle ayant mené à l'éclatement de la crise globale avec les prêts hypothécaires, il n'en demeure pas moins que les menaces sur l'économie sont réelles.
En 2013, la France va atteindre une dette publique record à 95% de sa richesse nationale, soit environ 2'000 milliards d'euros. Le pays confirme ainsi année après année son incapacité à juguler sa fuite en avant budgétaire. Derrière cette somme abstraite il y a des réalités pratiques que les dirigeants politiques feignent d'ignorer. En effet, si le pays donne encore l'impression de maîtriser son destin c'est avant tout grâce à des conditions exceptionnelles et indépendantes de la France. Ces conditions ne dureront pas éternellement et si rien n'est fait pour remédier à ce phénomène c'est la souveraineté même de la France qui pourrait être remise en question.
Le vaste chantier de la réforme des supervisions bancaires et financières vise à compléter la régulation micro-prudentielle traditionnelle centrée sur les risques individuels, par une régulation macro-prudentielle prenant en compte les risques dans leur globalité.
La politique macro-prudentielle peut ainsi se définir comme ayant l’objectif de « limiter le risque systémique, c’est-à-dire le risque d’une désorganisation de grande ampleur de la fourniture de services financiers, qui entrainerait de sérieuses conséquences pour l’économie réelle » ; en d’autres termes, éviter, dans la mesure du possible, les crises mettant en jeu la stabilité du système financier.
L'Acronyme "BRIC" renvoie aux quatre économies émergentes les plus importantes et dont le développement au cours des quinze dernières années a été le plus dynamique : Brésil, Russie, Inde et Chine. L'importance de ces pays dans l'économie mondiale est appelée à s'accroître au cours du XXIème siècle, concomitamment au déclin relatif des pays développés. En effet, malgré des fragilités certaines il n'en demeure pas moins que selon toute vraisemblance ces économies domineront l'économie mondiale comme auparavant l'Europe et les Etats-Unis le firent.
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Le budget 2014 de la France a été présenté le 25 septembre 2013. Les trois idées mises en avant par le gouvernement français sont que ce budget constitue une "pause fiscale", renvoyant essentiellement à une "baisse des dépenses", le tout dans un cadre "juste". Le caractère de justice est subjectif et doit être apprécié par chacun. Toutefois, les aspects concernant la fiscalité et les dépenses publiques peuvent être objectivés et il apparaît que les actes infirmes les mots.