"Il n'y a point de plus cruelle tyrannie que celle que l'on exerce à l'ombre des lois et avec les couleurs de la justice." - MONTESQUIEU
"Les investissements d'aujourd'hui sont les profits de demain et les emplois d'après demain" - Helmut SCHMIDT
"L’économie se venge toujours" - Raymond BARRE
"Qui ne peut attaquer le raisonnement, attaque le raisonneur " - Paul VALERY
"Le succès est un mauvais professeur. Il pousse les gens intelligents à croire qu’ils sont infaillibles " - Bill GATES
"Si vous m'avez compris c'est que je me suis mal exprimé" - Alan GREENSPAN
"Vous ne pouvez pas taxer les gens quand ils gagnent de l'argent, quand ils en dépensent, et quand ils épargnent" - Maurice ALLAIS
"L'humanité n'est pas sortie de l'âge de pierre parce qu'il n'y avait plus de pierres" - Ahmed Zaki YAMANI
"Chaque génération se doit de payer ses propres dettes. Respecter ce principe éviterait bien des guerres à l'humanité" - Thomas JEFFERSON
"L’inflation est toujours un phénomène monétaire" - Milton FRIEDMAN
La science économique se définit comme l’étude des mécanismes de production, de répartition, d’échange et de consommation des richesses.
Ce faisant, la science économique cherche à répondre à une question simple : comment satisfaire des besoins humains infinis dans un monde où les ressources sont par nature finies ?
Dans ce cadre, il est donc possible de dire que l’économie est la gestion de la rareté.
Afin de savoir en quoi la compréhension de l’économie est importante il suffit d’avoir en tête le syllogisme suivant :
Le sophisme de la vitre cassée, expliqué dans cette vidéo, tire son origine de l'essai "Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas" de l'économiste français Frédéric Bastiat, qui l'a le premier dénoncé. Comme l'expliquait Bastiat et comme le re-démontre cette vidéo, la destruction de biens matériels n'a pas d'effet positif sur l'économie, contrairement à une idée reçue. Pour reprendre les mots de conclusion du texte de Frédéric Bastiat : « la société perd la valeur des objets inutilement détruits ».
Si l’expression « rêve américain » a été utilisée pour la première fois par le journaliste Walter Lippmann en 1914, on attribue cependant la création du concept à James Truslow Adams (1878-1949), un écrivain et historien américain. Celui-ci revoit toute l’histoire des États-Unis à la lumière de la notion, et en 1931, en pleine dépression américaine.
Alexandre Delaigue, professeur d'économie à Saint Cyr, présente ici une histoire vraie qui éclaire les problématiques liées au système économique socialiste et au développement économique.
La relation entre le coût d’un film et le revenu généré est hautement imprévisible comparée à celle d’autres types d’investissements. Telle est la conclusion de l’étude de l’économiste américain Arthur de Vany, publiée dans Hollywood Economics : How Extreme Uncertainty Shapes the Film Industry (2003). Le professeur de l’université de Californie y montre qu’une grande partie de ce que l’on attribue aux compétences n’est en réalité qu’une attribution a posteriori. Par Romain Treffel.
C’est toujours amusant de relire, une fois adulte, les BD de son enfance : on découvre les héros sous un autre angle et l’on entre dans une dimension de la lecture qui nous échappait alors. C’est le cas des aventures d’Alix et de son camarade Enak, que Jacques Martin a dessiné, situant les héros dans des décors réalistes de l’Antiquité romaine. Alix appartient à la clientèle favorable à Jules César, luttant contre son rival de toujours, Pompée. Et c’est ainsi que débute le tome 9, Le dieu sauvage¸ merveilleuse fable sur l’État providence et ses désastres. Par Jean-Baptiste Noé.