"On ne peut devenir entrepreneur qu’en devenant auparavant débiteur. S’endetter appartient à l’essence de l’entreprise et n’a rien d’anormal" - Joseph SCHUMPETER
"L'humanité n'est pas sortie de l'âge de pierre parce qu'il n'y avait plus de pierres" - Ahmed Zaki YAMANI
"Sous le capitalisme, les gens ont davantage de voitures. Sous le socialisme, les gens ont davantage de parkings " - Winston CHURCHILL
"Le dollar est notre monnaie, mais c’est votre problème" - John Bowden CONNALLY
"Un problème politique est un problème économique sans solution" - Georges ELGOZY
"On ne sort de l'ambiguïté qu'à son détriment " - Cardinal de REITZ
"Hélas! Qu'y a-t-il de certain dans ce monde, hormis la mort et l'impôt ?" - Benjamin FRANKLIN
"Les profits sont le sang vital du système économique, l’élixir magique sur lequel repose tout progrès. Mais le sang d’une personne peut être le cancer pour une autre " - Paul SAMUELSON
"Le rituel de l’échange est le rituel majeur de la neutralisation de la violence " - Jacques ATTALI
"Un économiste est quelqu’un qui expose l’évidence en termes incompréhensibles" - Alfred KNOPFT
La science économique se définit comme l’étude des mécanismes de production, de répartition, d’échange et de consommation des richesses.
Ce faisant, la science économique cherche à répondre à une question simple : comment satisfaire des besoins humains infinis dans un monde où les ressources sont par nature finies ?
Dans ce cadre, il est donc possible de dire que l’économie est la gestion de la rareté.
Afin de savoir en quoi la compréhension de l’économie est importante il suffit d’avoir en tête le syllogisme suivant :
Afin de faire face à la crise financière de 2008-2009, la plupart des banques centrales ont notamment mis en place des politiques d'assouplissement monétaire (baisse des taux d'intérêts) pour soutenir le secteur bancaire et l'activité économique. Si les effets initiaux ont permis d'éviter une grande dépression comme dans les années 1930, le prolongement de ces politiques pourrait s'avérer délétère. En effet, les politiques actuelles sont probablement en train de créer les conditions de la prochaine crise économique.
Après une décennie de forte croissance économique dans les pays émergents durant les années 2000, la plupart font face à une période compliquée sur le plan économique. Le ralentissement observé dans ces pays tient pour partie aux problèmes rencontrés dans les pays développés. Toutefois, ces difficultés ne sont probablement pas conjoncturelles mais plus profondes, et soulignent en cela des difficultés spécifiques qui marquent en réalité la difficulté pour ces pays, à passer d'une phase de décollage et d'expansion économique, à une phase de maturité. Dès lors, après avoir longtemps parlé de "miracle" des émergents, certains commencent à parler de "mirage" des émergents.
La Chine a connu plusieurs semaines de fortes tensions sur les marchés financiers avec une chute des bourses suite à une hausse des taux d'intérêts. Il est important d'appréhender le contexte dans lequel ces évènements se sont déroulés afin de comprendre les dessous d'une situation potentiellement explosive pour la Chine, mais plus largement pour la région Asie-Océanie, ainsi que l'ensemble de l'économie mondiale. Tous ces évènements traduisent en réalité la volonté des autorités chinoises de faire évoluer le modèle économique dans un contexte où la croissance du pays montre des signes de ralentissement.
Depuis le 1er Juillet 2013, la Croatie est devenue le 28ème membre de l'Union Européenne (UE), soit près de 20 ans après la guerre de Yougoslavie. Le processus d'intégration aura été le plus long de toute l'histoire de l'UE car il aura duré plus de 10 ans, et les conditions d'entrée auront également été les plus draconiennes. L'aspect sur lequel la Croatie devra s'améliorer pour s'adapter et tirer avantage de son nouvel environnement économique est la compétitivité. Pour l'Europe, l'adhésion de la Croatie revêt essentiellement un intérêt politique et géopolitique, plus qu'économique.
Malgré des atouts certains, l'Iran ne s'est pas adapté aux bouleversements du monde. Les choix politiques et économiques issus de la révolution islamique de 1979 se sont tous avérés délétères, car guidés par des intérêts idéologiques et ceux d'un pouvoir théocratique. L'économie de l'Iran bénéficie toujours d'une importante rente pétrolière permettant l'accumulation de devises, mais ces revenus sont de plus en plus insuffisants pour contrebalancer les fragilités structurelles dont souffre le pays depuis la révolution de 1979, à savoir, entre-autres : économie étatisée et rentière, politiques économiques peu lisibles et rivalités entre les différents centres du pouvoir. Tous ces dysfonctionnements aboutissent à empêcher la mise en place de réformes structurelles aptes à développer l'économie, ce qui à force de louvoiement, pèse sur la conjoncture économique du pays qui se dégrade rapidement et de façon très marquée. Ainsi, le pays s'oriente clairement vers des risques économiques majeurs.
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