"L'étonnante tâche des sciences économiques est de démontrer aux hommes combien en réalité ils en savent peu sur ce qu'ils s'imaginent pouvoir modeler" - Friedrich HAYEK
"Il serait un mauvais économiste celui qui ne serait qu’économiste" - Friedrich HAYEK
"La machine a jusqu’ici créé, directement ou indirectement, beaucoup plus d’emplois qu’elle n’en a supprimés" - Alfred SAUVY
"La puissance productrice d’un pays peut s’accroître d’une façon plus que proportionnelle à l’augmentation du chiffre de sa population" - Alfred MARSHALL
"L’économie est fille de la sagesse et d’une raison éclairée : elle sait se refuser le superflu, pour se ménager le nécessaire " - Jean-Baptiste SAY
"On ne peut devenir entrepreneur qu’en devenant auparavant débiteur. S’endetter appartient à l’essence de l’entreprise et n’a rien d’anormal" - Joseph SCHUMPETER
"Le socialisme est une philosophie de l'échec, le crédo de l'ignorance et l'évangile de l'envie " - Winston CHURCHILL
"La grande industrie exige sans cesse une armée de réserve d’ouvriers sans emploi" - Karl MARX
"Il est aussi absurde de parler de démocratie ou d'efficacité économique dans une société communiste que d'évoquer un capitalisme sans argent" - Alexandre ZINOVIEV
"L’économie se venge toujours" - Raymond BARRE
La théorie des jeux est un domaine au confluent de spécialités telles que l'économie, la psychologie et les mathématiques. Cette approche constitue une grille de lecture pertinente pour appréhender la résolution du conflit grec et la négociation portant sur la dette de ce pays.
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Au même titre que la machine à vapeur, l'électricité ou encore l'informatique ont constitué des ruptures technologiques majeures, les biotechnologies pourraient également s'inscrire dans cette histoire. En effet, encore méconnues du grand public, elles constituent pourtant potentiellement des relais de croissance dans plusieurs secteurs d'activités, même si les obstacles à leur développement sont encore nombreux.
Une politique économique est un ensemble de mesures visant à orienter l’activité économique d’un pays afin que des objectifs soient atteints. Dans ce cadre, il convient de distingues les politiques conjoncturelles et les politiques structurelles : la politique conjoncturelle vise à faire face à l'ensemble des variations économiques à court terme, tandis que la politique structurelle se place dans une perspective de plus long terme. Les politiques conjoncturelles concernent donc la régulation de l'environnement économique pour corriger des déséquilibres ponctuels, alors que les politiques structurelles ambitionnent de modifier durablement les structures du fonctionnement économique. L'analyse se bornera ici à étudier les politiques conjoncturelles sous un angle dynamique, c'est-à-dire en intégrant leur évolution dans le temps.
La France est la 6ème économie la plus riche du monde (récemment dépassée par la Grande-Bretagne). Elle est respectivement classée au 25ème et 20ème rang mondial en termes de richesses par habitant et de développement humain. De plus, elle a comparativement mieux traversé la crise que les autres pays avancés entre 2007 et 2011 ; alors que, depuis 2012 la situation est inversée. Si ces éléments sont globalement positifs, il n'en demeure pas moins que l'évolution des principaux indicateurs économiques conjoncturels se sont dégradés depuis quatre décennies.
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Soixante-dix ans après la fin du IIIème Reich (1933-1945), le retour économique et politique sur cette période de l'histoire allemande souligne des aspects éclairants sur la situation actuelle.
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La problématique alimentaire est devenue un sujet majeur dans les pays méditerranéens depuis la flambée des prix alimentaire en 2006. Les pays les plus concernés sont ceux de l'arc Sud de la Méditerranéen qui s'étend du Maroc, à l'Ouest, jusqu'à la Syrie, à l'Est. Cette région fait face à des faiblesses structurelles liées à des contraintes naturelles (faible pluviométrie et pauvreté de la nature des sols), auxquelles viennent s'ajouter une dynamique démographique et un réchauffement climatique qui entraîne la surexploitation des sols et une dépendance accrue vis-à-vis des marchés internationaux des produits alimentaires de base.
Le sophisme de la vitre cassée, expliqué dans cette vidéo, tire son origine de l'essai "Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas" de l'économiste français Frédéric Bastiat, qui l'a le premier dénoncé. Comme l'expliquait Bastiat et comme le re-démontre cette vidéo, la destruction de biens matériels n'a pas d'effet positif sur l'économie, contrairement à une idée reçue. Pour reprendre les mots de conclusion du texte de Frédéric Bastiat : « la société perd la valeur des objets inutilement détruits ».
En économie, si la guerre représente un coût, elle ne peut être résumée à ce seul aspect. En effet, les mécanismes par lesquels la guerre affecte l'économie ne se limitent pas à l'estimation de son coût pour les secteurs privés ou publics. Dans ce cadre, apprécier l'impact économique de la guerre suppose que soient prises en compte les modifications des paramètres qui président à l'élaboration des choix individuels. Même si elle ne peut se borner à cette seule dimension, l'analyse de la guerre sous l'angle des finances publiques, permet de souligner que la conséquence économique de la guerre renvoie aux notions de risque et d'incertitude.
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La situation démographique d'un pays et son évolution est un élément important du dynamisme d'une économie. Elle détermine pour partie la croissance potentielle d'un pays et permet d'orienter la politique économique en fonction notamment des besoins futurs en termes de dépenses sociales. Dans ce cadre, l'INSEE a publié en 2011 de nouvelles informations quant aux projections de population. Il ressort plusieurs éléments mais ce sont surtout les implications des projections de population active qui sont les plus éclairantes, quant aux perspectives économiques de la France. A ce titre, il apparaît que la France devra composer à court et moyen terme avec des difficultés en matière d'emploi, alors qu'à long terme la hausse de la population active souligne des opportunités concernant la croissance et la gestion des dépenses sociales.
Évolution passée et future de la population, selon un scénario moyen et les six variantes
Sources : INSEE, estimations et projection de population 2007-2060 en France métropolitaine.
Cette vidéo de 10 minutes porte sur un des fondements de l'économie, à savoir la théorie de la connaissance. Elle explique globalement pourquoi un tel domaine d’étude est né et examine certaines des questions posées par l’épistémologie comme : quelle est la nature de la connaissance rationnelle ? Quels sont les obstacles à l’acquisition de la connaissance ? Qu’est-ce-qui peut être connu ? Et en quoi la connaissance rationnelle diffère-t-elle de l'opinion ou de la croyance ?
Traduction de Pierre-Antoine A. et Lydéric D. pour l'Institut Coppet.
L'adage populaire veut qu'il n'y ait rien de mieux qu'une guerre pour relancer l'économie. Sans vouloir vérifier cette assertion, il convient cependant de souligner deux éléments : tout d'abord, si cela semble se vérifier historiquement, les expériences contemporaines viennent tempérer cette idée ; ensuite, cela ne peut être vrai que si la guerre ne dure pas trop longtemps, qu'elle ne s'avère pas trop destructrice, et surtout qu'elle se déroule loin du sol national. Quoi qu'il en soit, il convient de poser un cadre théorique permettant de mieux appréhender la légitimité et la pertinence des dépenses militaires.
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