"Quand vous êtes capable, feignez l'incapacité. Quand vous êtes proche, feignez l'éloignement. Quand vous êtes loin feignez la proximité" - Sun TZU
"Une société qui ne reconnaît pas que chaque individu à des valeurs qui lui sont propres qu'il est autorisé à suivre, ne peut pas avoir de respect pour la dignité de l'individu et ne peut réellement connaître la liberté" - Friedrich HAYEK
"La grande industrie exige sans cesse une armée de réserve d’ouvriers sans emploi" - Karl MARX
"Un économiste est quelqu'un qui voit fonctionner les choses en pratique et se demande si elles pourraient fonctionner en théorie" - Stephen M. GOLDFELD
"On appelle progrès technique une capacité d’action de plus en plus efficace que l’homme acquiert par l’effort intellectuel sur les éléments matériels" - Jean FOURASTIE
"La liberté n’est pas l’absence d’engagement, mais la capacité de choisir" - Paulo CUELHO
"En France quand on raisonne économiquement on est soupçonné de conspirer socialement" - Auteur indéterminé
"C'est en poussant à bout le mouvement économique que le prolétariat s'affranchira et deviendra l'humanité" - Jean JAURES
"L’avenir ne se prévoit pas, il se prépare " - Maurice BLONDEL
"Il serait un mauvais économiste celui qui ne serait qu’économiste" - Friedrich HAYEK
Le diplomés sont-ils suffisamment préparés à leur emploi ? Que se passe-t-il lorsqu'on pose cette question à des employeurs, des diplômés et des professeurs de 8 pays européens différents ? Réponse en graphique.
Le gouvernement doit trouver 50 milliards d'euros dans le cadre du pacte de responsabilité. Jean-Marc Vittori, à partir d'un graphique de Patrick Artus de Natixis, propose une piste pour économiser près de la moitié.
C'est l'arme secrète du gouvernement pour faire baisser la courbe du chômage. Le graphique suivant nous montre que les emplois aidés ont souvent été utilisés en France, généralement dans un but électoral.
Un récent rapport de la délégation de la commission des finances du Sénat montre que la France est la "grande perdante des sanctions contre l'Iran", que notre "application stricte, voir zélée, des différents régimes de sanctions" est "destructeur d'un point de vue économique", et que notre jusqu'au-boutisme "contraste avec les stratégies de nos concurrents" qui n'attendent pas de permission de revenir en Iran afin de défendre leurs intérêts.
Après une longue période favorable à son développement, notamment liée à une croissance mondiale soutenue et des prix sur les matières premières élevés, l'Afrique du Sud fait face à une conjoncture économique moins favorable qui souligne ses faiblesses structurelles. En effet, malgré plusieurs atouts certains, le pays fait face à de nombreux défis se traduisant par des risques sociaux et économiques qui tendent à s'accroître.
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Jean-Marc Vittori, éditorialiste aux Echos, commente la carte mondiale du pessimisme. Qui sont les champions ? Réponse, constat et hypothèses.
Il y a beaucoup de chômage en France, en particulier de chômeurs de longue durée. Et pourtant... la France est le pays où l'emploi est le plus stable. Y-aurait-il un lien de cause à effet ? Réponse en graphique.
La vidéo suivante explique en 3 minutes la notion de PIB et les concepts clés (Richesse par habitant, PIB nominal et réel, etc.) qui s’y rattachent.
A mi-mandat, il est de coutume de réaliser un bilan d'étape sur l'action, les réalisations et la cohérence du Président démocratiquement élu de la cinquième puissance économique mondiale. Dans ce cadre, la logique demanderait de réaliser en priorité un bilan économique, plus que politique, social ou sociétal, tant ces aspects sont étroitement liés à la chose économique, laquelle a implications pratiques diffusant à l'ensemble des problématiques de la France.
L'Economiste s'était modestement essayé à cet exercice après un an de mandat. Toutefois, aucune analyse de ce type ne sera réalisée cette fois-ci. Trois éléments président au fait que L'Economiste s'interdise d'effectuer un bilan économique à mi-mandat de l'action de François Hollande : tout d'abord (1) la peur de la vision du paysage économique que cette analyse ferait nécessairement apparaître ; ensuite (2) cela ne ferait que rappeler que ce qui se joue actuellement n'est qu'une séquence dont le scénario était écrit dès le 6 mai 2012 ; enfin (3) l'envie de faire exceptionnellement mentir la phrase de Raymond Barre selon laquelle "L'économie se venge toujours" ; en espérant donc que pour une fois la France ne récoltera pas ce qu'elle a semé.
Par conséquent, et au lieu de réaliser un bilan, L'Economiste vous propose de visionner la vidéo ci-dessous. Elle renvoie à un débat d'une quinzaine de minutes sur le thème de la fiscalité entre François Hollande et l'économiste Pascal Salin. Outre la différence d'appréhension de la chose fiscale entre un homme politique de gauche et un économiste libéral que fait apparaître cet échange, il est probablement intéressant pour une personne ayant accordé son vote à François Hollande de se replonger dans les propos que ce dernier tenait en 2011, alors qu'il n'était pas encore Président de la République mais candidat à la primaire du parti socialiste. Il est ainsi possible de juger à postériori de l'efficacité à l'échelle d'un pays d'une vision de l'économie qui a su convaincre et remporter l'adhésion de plus d'un électeur sur deux il y a deux ans et demi.
En France on parle beaucoup de réformes qui ont du mal à passer et de croissance qui se fait attendre. Mais Y aurait-il un lien entre les deux ? La réponse en graphique.