"En général, on parvient aux affaires par ce qu'on a de médiocre, et on y reste par ce que l'on a de supérieur" - François-René de CHATEAUBRIAND
"Le succès est un mauvais professeur. Il pousse les gens intelligents à croire qu’ils sont infaillibles " - Bill GATES
"L'épargne et l'accumulation de biens de capitaux qui en résulte sont au début de chaque tentative d'améliorer les conditions matérielles de l'homme; c'est le fondement de la civilisation humaine" - Ludwig Von MISES
"Notre économie change jour après jour et, en ce sens, elle est toujours nouvelle" - Alan GREENSPAN
"Vous et moi venons par route ou par rail, mais les économistes voyagent en infrastructures " - Margareth THATCHER
"Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire. Car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. " - Henry FORD
"Les hommes n'étant pas dotés des mêmes capacités, s'ils sont libres, ils ne sont pas égaux, et s'ils sont égaux, c'est qu'ils ne sont pas libres" - Alexandre SOLJENITSYNE
"Gold is money. Everything else is credit " - J.P. MORGAN
"L'impôt tue l'impôt" - Arthur LAFFER
"L’avenir ne se prévoit pas, il se prépare " - Maurice BLONDEL
Le sophisme de la vitre cassée, expliqué dans cette vidéo, tire son origine de l'essai "Ce qu'on voit et ce qu'on ne voit pas" de l'économiste français Frédéric Bastiat, qui l'a le premier dénoncé. Comme l'expliquait Bastiat et comme le re-démontre cette vidéo, la destruction de biens matériels n'a pas d'effet positif sur l'économie, contrairement à une idée reçue. Pour reprendre les mots de conclusion du texte de Frédéric Bastiat : « la société perd la valeur des objets inutilement détruits ».
Si l’expression « rêve américain » a été utilisée pour la première fois par le journaliste Walter Lippmann en 1914, on attribue cependant la création du concept à James Truslow Adams (1878-1949), un écrivain et historien américain. Celui-ci revoit toute l’histoire des États-Unis à la lumière de la notion, et en 1931, en pleine dépression américaine.
Alexandre Delaigue, professeur d'économie à Saint Cyr, présente ici une histoire vraie qui éclaire les problématiques liées au système économique socialiste et au développement économique.
La relation entre le coût d’un film et le revenu généré est hautement imprévisible comparée à celle d’autres types d’investissements. Telle est la conclusion de l’étude de l’économiste américain Arthur de Vany, publiée dans Hollywood Economics : How Extreme Uncertainty Shapes the Film Industry (2003). Le professeur de l’université de Californie y montre qu’une grande partie de ce que l’on attribue aux compétences n’est en réalité qu’une attribution a posteriori. Par Romain Treffel.
C’est toujours amusant de relire, une fois adulte, les BD de son enfance : on découvre les héros sous un autre angle et l’on entre dans une dimension de la lecture qui nous échappait alors. C’est le cas des aventures d’Alix et de son camarade Enak, que Jacques Martin a dessiné, situant les héros dans des décors réalistes de l’Antiquité romaine. Alix appartient à la clientèle favorable à Jules César, luttant contre son rival de toujours, Pompée. Et c’est ainsi que débute le tome 9, Le dieu sauvage¸ merveilleuse fable sur l’État providence et ses désastres. Par Jean-Baptiste Noé.
L'échange question-réponse qui suit correspond au dernier entretien de l'économiste et prix Nobel d'économie 1974, Friedrich Von Hayek. L'entretien date de 1985, c'est-à-dire sept années avant le décès de F. Hayek en 1992. Alors âgé de 86 ans, il aborde des thèmes très différents allant de la situation de la France à la politique monétaire en passant par des considérations morales et théoriques, entre autres. Au-delà de l'intérêt que revêt en soit le fait que ce soit la dernière interview d'un des plus grands penseurs du XXème siècle, l'approche philosophique plus qu'économique des réponses de Hayek est particulièrement éclairante sur le "testament" que laisse cet homme à l'humanité. Il achève d'ailleurs cette interview sur la phrase suivante : " Si je peux laisser derrière moi une meilleure compréhension des choses, je pense que c’est la meilleure chose que je puisse faire ". Reprise depuis l'Institut Coppet.
Milton Friedman (1912 -2006) est un économiste américain, prix Nobel d'économie 1976 et chef de file du courant dit "monétariste". Dans cette vidéo de dix minutes, il présente de façon brillante, pédagogique et très intuitive le système des prix et le marché libre à travers un exemple simple : celui de la fabrication d'un crayon jaune basique. Par extension, c'est également le fondement de la mondialisation économique, c'est-à-dire en substance l'interconnexion des économies, qui apparaît de manière sous-jacente.
Le 22 octobre 1982, le ministre du Budget, Laurent Fabius, signe un arrêté pour contraindre les importateurs à ne plus dédouaner leurs magnétoscopes dans les ports, mais au centre de la France, à Poitiers. De plus, une redevance est prélevée sur les magnétoscopes.
La plupart des gens connaissent l’histoire du Post-It. Ce produit révolutionnaire aurait été inventé (par erreur …) par un chercheur de l’entreprise 3M qui cherchait à mettre au point une colle extra-forte. Le Post-It serait donc un parfait exemple de sérendipité : l’art de trouver ce qu’on ne cherchait pas !
Heureux êtes-vous si vous connaissez la tour de Gourze ; c’est que vous êtes familier du canton de Vaud, qui s’étire des rives du Léman aux sommets alpestres. Cette tour carrée de grosses pierres de neuf mètres de haut fut bâtie au IXe siècle. Son sommet offre une vue panoramique sur le lac Léman, la rive et les sommets français ainsi que les vignes du Valais et de Lavaux qui s’accrochent aux coteaux. Intéressante tour de Gourze, qui fut édifiée par la reine Berthe pour assurer la protection de la région contre les invasions de Sarrasins. Ceux-ci ont certes attaqué les côtes de la Méditerranée, y faisant de nombreux raids et razzias, mais ils ont aussi remonté la vallée du Rhône et ont attaqué les points centraux des cols alpestres. Par Jean-Baptiste Noé.